Commerce

La situation est grave. A la place de peindre les devantures de magasins fermés, mieux vaut tirer la somme maximale du fonds d’intervention pour les services, l’artisanat et le commerce (FISAC créé en 1989 et inscrit au budget de l’État) à La Seyne. C’est notre volonté.

Depuis dix ans, il n’est plus nécessaire de mettre en place une OPAH pour obtenir une subvention FISAC de réfection de vitrines dans le même périmètre et l’achat de locaux d’activité vacants par la Ville est éligible au FISAC. Que fait donc cette municipalité sur le quai Saturnin Fabre et le Cours Louis Blanc? Pourquoi la sauvegarde du commerce n’est-elle pas sa priorité? Nous OUI.

Une réflexion au sujet de « Commerce »

  1. Seynois des mon 1er âge, je souffre de voir mon cœur de ville être abandonne, paupérise, soumis a des actes d’incivilité et d’insécurité.
    Je veux retrouver mon centre ville d’antan ou les commerces étaient ouverts et accueillants, ou les petits artisans avaient pignon sur rue et œuvrer a la vue des passants, les attroupements ou on parlait de tout et de rien en refaisant le monde a sa manière, les habitants qui se croisaient en se disant bonjour comment ça va.
    Il est essentiel que le centre ville retouve l’esprit du vivre ensemble et j’en appelle a toutes les personnes de bonne volonté, porteuses d’idées, disponible, ayant le sens de la citoyenneté a se rassembler pour contruire La Seyne Sur Mer du 21iem siecle

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