Il n’est pas sérieux de racheter un terrain à un promoteur et de ne rien n’y faire jusqu’à la fin d’un mandat. Il fallait fermer cette zone à l’urbanisation aussi longtemps que la situation budgétaire de la Ville ne permettait pas d’y réaliser un équipement public. On aurait ainsi évité d’engager des travaux inutiles et qu’un fermier se batte pendant des années pour conserver l’une des dernières terres agricoles de la commune. L’action publique aurait été plus efficace.