Croisiéristes

Le projet toulonnais remet évidemment en cause l’accueil des croisiéristes sur le môle d’armement seynois, le seul de la rade à pouvoir accueillir aujourd’hui des navires de plus de 300 m. Il faut être naïf pour penser le contraire.

Ce n’est pas des ferries pour la Corse ou la Tunisie dont La Seyne a le plus besoin mais bien de la consommation des passagers de Royal Caribbean International en centre-ville. 70% des 275 000 croisiéristes qui ont fait escale à La Seyne en 2012 vont à terre.

Ce n’est pas en dénommant l’escale à La Seyne « Toulon-Provence », ni en excluant tout transport des passagers par une navette municipale ou « en attendant que les commerçants du centre ancien jouent le jeu » (Adjoint au commerce Var-matin 16/06/12), que l’on sera à la hauteur pour La Seyne.

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