Ce qui ne marche(ra) pas

001L’association de prévention et d’aide à l’insertion, dont le siège social est en plein centre de La Seyne, touchera cette année plus d’1 million d’euros de subventions. Elle n’aura évidemment pas empêché le classement du seul centre-ville de France, le nôtre, en zone de sécurité prioritaire, et pour causes – ça ne marchera pas. Oui, il faut changer de politique. Il y a à La Seyne trop d’animateurs (81) et pas assez de policiers (53), dix de moins que l’effectif budgété en 2013.

Autre exemple symptomatique de notre différence de gestion : l’association Les chantiers du cinéma reçoit 5.000 euros de la Ville pour un festival de 5.000 spectateurs. Quels que soient la qualité des représentations ou le résultat net de l’opération, la commune ne peut pas continuer de fournir la totalité des ressources nécessaires à ce festival payant et l’association, à récupérer entièrement la recette.

Non, La Seyne-sur-Mer, aux taux d’imposition que l’on subit, ne peut plus s’autoriser ce genre de financements réprouvé par la majorité des Seynois aujourd’hui. Les prochaines élections locales vont être l’occasion de le confirmer.

Oui

001Oui et nous l’avions exigé. Si « TPM n’a pas d’autre choix que de réinterroger un à un ses projets et ses actions, pour réaliser des économies drastiques » (Hubert Falco), c’est grave de ne le faire qu’à présent à pression fiscale constante. Que l’Etat donne moins est un fait, que les contribuables continuent de payer les erreurs de gestion en est un autre plus grave.