Au travail

catalog-cover-large (3)Nous sommes désormais les conseillers départementaux de tous les Seynois, quel qu’ait été leur choix. Notre obligation de moyens est totale. C’est dans l’unique intérêt de la ville de La Seyne-sur-Mer que nous nous mettons aujourd’hui au travail. Nous le souhaitons le plus constructif possible avec le Maire de La Seyne. Rien ni personne ne nous fera dévier du sens de notre engagement. Les Seynois ont voulu un changement, ils l’auront. Merci de votre confiance. Prochain conseil municipal : vote du budget le 7 avril à 8H.

Gauche seynoise

Ah la gauche seynoise qui nous donne des leçons de République…

004 005 006 008 001 003Comment un ancien élu, suppléant d’un candidat de gauche, peut-il ainsi mentir, à plusieurs reprises, face à des autorités de justice et de police? Dimanche 29 mars 2015, mettons enfin, ensemble, à La Seyne, un terme à cette [im]posture politique qui a trop duré. Dimanche, votons en masse pour mettre les candidats de l’espérance devant leurs responsabilités, dans l’unique intérêt de notre ville, et jugeons les, sans parti pris, à l’aune de leurs résultats.

 

 

Budget 2015

fn-front-national-logoNous avons représenté, seuls, en commission des finances, la majorité des Seynois qui réprouve la politique budgétaire de Marc Vuillemot.

Nous votons contre ce budget, en fait contre ce type de budget. Marc Vuillemot a hérité de son prédécesseur UMP de charges de fonctionnement particulièrement élevées. Il a tenu, par principe, à maintenir l’offre de services publics à son maximum, quel qu’en soit le prix à payer et sans les hiérarchiser. Mais il n’a pas anticipé ce qui ne nous aide pas: la contribution au SDIS, les emprunts toxiques, la baisse brutale des dotations de l’Etat. Il a souhaité, symboliquement, diminuer de quelques euros, la feuille d’imposition des Seynois. Il a réduit les coûts de fonctionnement, hors personnel, de certains services. Il a recruté des fonctionnaires en contrat aidé mais n’a plus les moyens de boucler le programme d’installation de caméras de vidéo protection, pourtant financées à 80% par l’Etat. Le magazine Le Seynois est, par exemple, réduit mais force est de constater que ce ne sera jamais suffisant dans les années à venir.

Il est ce chef de famille qui s’acharne à faire plaisir à tous ses enfants sans pouvoir leur dire qu’un jour, le plus tard possible espère-t-il, tout devra s’arrêter parce qu’il ne pourra plus faire face. Alors, c’est vrai, cet aveuglement peut  l’amener jusqu’à la fin du mandat. Mais après ?

Plus généralement, même si nous dénonçons, aussi fermement que lui, une baisse aussi violente des aides de l’Etat, une spéculation bancaire aussi vorace, des inégalités aussi criantes entre communes varoises, nous appartenons à une génération d’élus qui aura définitivement compris pourquoi, l’UMP comme le PS, auront attendu l’ultime moment, criblés de dettes, viscéralement attachés à leur train de vie, cramponnés au pouvoir et prisonniers de leurs chapelles partisanes, pour abandonner leurs acquis et s’en remettre au bon sens populaire.